je m'appelle theodora sunny clarkson. je suis né(e) le 01 janvier 1989, à londres, angleterre et j'ai donc 25 ans. je suis de nationalité anglaise et d'origine anglaise. dans la vie, je suis urgentiste et je suis très heureuse de mon métier/mes études. depuis que suis arrivé(e) à blackpool, les gens me considèrent comme une personne perfectionniste, aimante, jalouse, souriante et possessive. sinon, en ce qui concerne ma vie privée, je suis célibataire et d'orientation hétérosexuelle. je pense faire partie du groupe the gosht of you et mes amis n'arrêtent pas de me dire souvent que je ressemble à Shailene Woodley.

   

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[color=#cc3300]▼[/color] [b]shailene woodley[/b] + [i]theodora s. clarkson[/i]

prénom/pseudo : lalou/marion. âge : 20 ans. région/pays: aquitaine/france. tu rp depuis: plus de dix ans. ton personnage est ? inventé. fréquence de connexion : 7/7 avis sur le forum: très beau . mot de la fin:    .

« Félicitations Mme Clarkson, c’est une petite fille. » Un bébé poussa un cri et se mit à pleurer tandis que ses parents le regardaient avec eux aussi les larmes aux yeux et un sourire éclatant aux lèvres. C’était le premier enfant de la famille Clarkson et surtout il était attendu comme le messie. Camila et James avaient tenté pendant de nombreuses années et à chaque fois quelque chose venait compliqué la mise en route du bébé. Mais là, c’était la bonne. « Comment voulez-vous l’appeler ? » La sage-femme les sortit de leurs pensées et ils échangèrent un regard plein d’amour. Ils avaient décidé des prénoms bien avant la naissance du bébé mais n’avaient pas voulu chercher à savoir le sexe avant le jour de l’accouchement. Maintenant qu’ils savaient que c’était une fille, ils se retournèrent en même temps devant le médecin. « Theodora Sunny Clarkson. » Theodora était une sorte d'hommage à la mère de Camila qui était décédée quelques mois plus tôt. Mais les Clarkson ne voulaient pas que leur fille porte le nom d'une défunte alors ils avaient amélioré le prénom. Sunny était simplement le surnom de Sonia. Cela aurait pu être pire. Si le bébé avait été un garçon, il se serait appelé Hippolyte Jamie... C’est ainsi que Teddy naquit de l’amour entre Camila et James Clarkson. Theodora fut alors placée contre sa mère où elle put faire sa première tétée. Et voilà, elle avait vu le monde dans un des hôpitaux de Londres. C’était une anglaise et elle serait la fierté de ses parents, ils en étaient convaincus.

« Faut vite que tu viennes petit monstre ! Moi je veux jouer avec quelqu’un. » Collée au ventre de sa mère, Theodora avait pris l’habitude de parler au bébé qui s’y trouvait dedans. Elle n’avait qu’une hâte c’était que ce petit être sorte vite afin d’avoir enfin un compagnon de jeu. Teddy était surdouée, c’était ce que les psys qu’elle avait vu avait dit. Elle était avancée pour son âge et sa mémoire photographique était impressionnante. C’était pour cette raison qu’elle n’avait pas beaucoup d’amis. Les autres enfants de son âge la regardaient bizarrement parce qu’elle parlait correctement et qu’elle enregistrait les choses plus facilement qu’eux. C’était la maitresse qui avait soulevé mis en avant les facultés intellectuelles de la petite Clarkson en demandant aux parents de l’amener passer des tests. Il s’était alors révélé que la petite avait un QI plus élevé que la moyenne et que sa mémoire était une mémoire eidétique. Elle mémorisait ce qu’elle avait sous les yeux en moins de cinquante secondes et pouvait le ressortir sans le regarder une deuxième fois. Camila et James étaient très fiers de leur petit rayon de soleil. Mais contrairement aux autres enfants, elle n’avait pas beaucoup d’amis. D’un coup, la brune fut sortie de ses pensées par les cris de sa mère. Du sang s’écoulait de son pantalon et loin d’être effrayée, Teddy était simplement perdue. Elle ne comprenait pas ce qui se passait. Aussitôt son père réagit au quart de tour et porta sa mère jusqu’à la voiture avant de l’emmener chez les voisins, les Swanson. Ils partirent ensuite à l’hôpital. Theodora se retrouva alors avec Eliott, le plus grand qui avait déjà huit ans et Joan la plus petite qui n’avait un an de plus qu’elle. « Dis tu veux jouer avec moi ? » Les yeux de Teddy s’illuminèrent. C’était bien la première fois qu’une fille de son âge lui demandait si elle voulait jouer avec elle. La petite fille ne savait pas comment réagir et ce fut la main tendue de Joan et son sourire qui la décidèrent à aller avec elle. La journée continua ainsi jusqu’au soir où elle apprit qu’elle devait dormir avec Joan parce que ses parents restaient à l’hôpital. Loin d’être idiote, Theodora avait compris qu’il était arrivé quelque chose au bébé. Alors lorsque la famille Swanson passa à table avec elle, elle ne put s’empêcher de demander. « Maman a fait une fausse couche, pas vrai ? » La mère de Joan et Eliott la regarda attendrie et lui avouèrent que c’était ce qui était arrivé. Des larmes commencèrent à couler le long de ses joues. Elle avait compris que c’était la dernière fois qu’elle pourrait espérer avoir un petit frère ou une petite sœur… Ses parents n’allaient pas essayé encore une fois après avoir déjà perdu leur enfant. Ce qu’elle ne savait pas c’était que c’était la troisième tentative des Clarkson.

« Joan, pourquoi les gens sont comme ça avec moi ? Je suis pourtant pas méchante avec eux. Je les aide même quand ils ont des problèmes à l’école. » La brune s’était retrouvée chez les Swanson après les cours pour un projet commun avec Joan. Depuis qu’elle avait sauté une classe et rejoint celle de sa voisine, les deux filles s’entendaient bien. Teddy qui n’avait jamais réellement eu d’amis était contente de pouvoir compter sur la brunette qui n’avait un an de plus qu’elle. « Je ne sais pas Teddy. Ils sont sûrement jaloux que tu puisses avoir autant de facilités. » Theodora soupira en entendant la réponse de son amie. Mais ce n’était pas une réponse suffisante pour elle. Les gens étaient méchants avec elle gratuitement alors qu’elle ne faisait rien de méchant. C’était seulement parce qu’elle était intelligente et qu’elle réussissait mieux les exercices demandés par les profs que les autres. « Tu as sûrement raison. Cependant, tu ne devrais pas rester avec moi… Ils vont finir par se moquer de toi aussi. » Joan lui poussa l’épaule et se mit à rire. Légèrement vexée, Teddy croisa les bras sur sa poitrine inexistante et fit la moue. Elle n’était pas quand les gens qu’elle aimait beaucoup se moquait d’elle parce qu’elle avait l’impression qu’ils étaient comme tous les autres. Et depuis que la plupart des gens se moquaient d’elle, elle se vexait assez rapidement. « Le prend pas mal Teddy. Mais si j’avais vraiment voulu ne pas être ton amie, je ne t’aurai même pas laissé me supplier de m’asseoir à côté de toi à la rentrée des vacances. » La jeune fille avait quasiment harcelé sa voisine pour qu’elle s’asseye à côté d’elle lorsqu’elle changerait définitivement de classe pour ne pas être toute seule ou à côté de quelqu’un qui s’en prendrait à elle. « Arrête de te faire du soucis pour ça. Les gens sont des idiots… Et puis, on a un projet à finir et il faut que tu leur montres qu’on est les meilleures. » Le sourire de nouveau aux lèvres, Theodora laissa de côté ses démons pour se lancer à corps perdu dans ses recherches pour leur projet.

« Hey Bouffe-tout, tu veux finir mon assiette ? J’ai l’impression que t’as encore faim… Mais je voudrais pas que la graisse qui dépasse de ton t-shirt s’agrandisse et t’empêche de marcher. » Des rires se firent entendre dans tout le self tandis que Teddy essayait de se cacher derrière ses longs cheveux pour éviter que les autres ne voient ses larmes commencer à couler. Elle ne supportait plus les moqueries sur son physique ou sur son intelligence. Elle avait toujours été ronde et depuis que les élèves de son collège s’en prenait à elle pour tout et n’importe quoi, elle passait son temps à manger pour oublier. Certains boivent, elle, elle s’était réfugiée dans la nourriture pour éviter de devenir alcoolique en étant mineure. « Hey tu m’as entendu ? Quand on est polie, on répond aux gens qui te parlent ! » Sans même s’être rendue compte que le mec qui lui parlait s’était approché d’elle, elle leva les yeux vers lui au moment où il lui jetait son soda au visage. Avant même qu’elle n’est pu se défendre, le type était par terre et Eliott le regardait rouge de colère. « La prochaine fois, je te défonce. » Sans plus de cérémonie, il attrapa la main de la jeune fille et l’entraina à sa suite dans les toilettes pour l’aider à se débarrasser de toute présence de soda sur elle. Les larmes continuaient de couler le long de ses joues tandis que Eliott s’acharnait à lui essuyer le visage. « Teddy, tu peux pas rester comme ça. Faut que tu en parles à tes parents… ou au moins que tu te défendes. Je serai pas toujours là pour te protéger. » Il savait déjà ce que l’adolescente allait lui répondre. Ce n’était pas la première fois qu’ils avaient ce genre de conversation. Elle lui dirait qu’elle ne voulait pas inquiéter ses parents et qu’elle ne pouvait pas se défendre parce qu’elle n’avait rien pour le faire. Puis, elle terminerait par le fait qu’elle ne lui avait pas demandé de l’aider. « Tu sais très bien que je ne veux pas les inquiéter pour rien… Et puis, ils ne me croiraient pas. Tu as bien vu comment ils ont été la dernière fois que tu leur en as parlé. » Eliott avait pris les choses en mains quelques semaines plus tôt pour avertir les parents de la brunette de ce qui se passait à l’école. Mais aucun des deux n’avait réagi à ce qu’il avait dit et avait tourné le truc à la rigolade. C’était sûrement des boutades de gamins et donc, il n’y avait pas de soucis à se faire. Ils n’avaient même pas remarqué que leur fille était devenue énorme… Ils n’y avaient aucun espoir pour eux. Ils préféraient se battre entre eux plutôt que d’aider leur fille. « Et puis, tu veux que je me défende comment ? Je ne suis pas comme toi capable d’utiliser mes poings pour me défendre et la parole ne servirait à rien… » Le soda avait disparu de son visage et même s’il en restait un peu dans ses cheveux, elle laissa tomber. D’un geste, elle fit comprendre à Eliott de se retourner et elle se déshabilla pour enlever son t-shirt poisseux. Theodora avait l’habitude de ce genre de chose et donc, elle avait toujours plusieurs t-shirts de rechange au cas où. Elle en enfila un et le frère de Joan put se retourner. « Je te remercie Eliott, mais tu n’es pas obligé de m’aider… ça s’arrêtera bien un jour. » Elle l’embrassa alors sur la joue avant de quitter la pièce sans rien dire. Teddy savait que les moqueries ne s’arrêteraient jamais. Cependant, elle essayait de s’en convaincre…