je m'appelle Théoden Judikaël O'meehan. je suis né(e) le 25 Septembre 1992, à Dublin et j'ai donc vingt-deux ans. je suis de nationalité irlandaise et d'origine irlandaise. dans la vie, je suis étudiant en arts, spécialité cinéma. et je suis très heureux de mes études. depuis que suis arrivé(e) à blackpool, les gens me considèrent comme une personne fêtard, drôle, coureur de jupon, amical et bousillé. sinon, en ce qui concerne ma vie privée, je suis dans la merde totale et d'orientation hétérosexuel. je pense faire parti(e) du groupe it's dangerous buisness et mes amis n'arrêtent pas de me dire souvent que je ressemble à Robbie Wadge.

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[color=#cc3300]▼[/color] [b]Robbie Wadge[/b] + [i]Théoden J. O'meehan[/i]

prénom/pseudo : Sarah/everdream âge : 18 ans région/pays: france tu rp depuis: Oulaaaah... Ca fait bonne lurette que j'ai commencé x) ton personnage est ? C'est un scnéario de Luka-bèl (parce qu'elle est belle *sort loin*) fréquence de connexion : le plus possible avis sur le forum: le design est juste              mot de la fin:   

T'avais trois ans quand elle est partie. Quand elles sont parties. Loin de toi. De toi et de ton père aussi. Ça lui a fait beaucoup de mal, à ton père. Tu l'as tout de suite remarqué. Toi, comme un crétin, tu n'y comprenais rien. Tu demandais où elle était et où était maman. Il te répondait seulement « Loin d'ici mon garçon ». Et quand tu lui demandais quand tu vas les revoirs, il te disait « Pas tout de suite, mon grand. Pas maintenant ». À chaque fois avec cette même tristesse dans le regard. Alors, tu continues ta vie, tranquillement, tout en pensant à elle. À Luka-Bèl, à ta grande sœur, ton modèle, ta meilleure amie. Les années passèrent et, petit à petit, tu commenças à l'oublier. Son joli visage, ses cheveux blonds presque blancs, son rire. Ses traits étaient flous dans ta mémoire. Mais tu as une sœur, Théo. Ça, tu ne pouvais pas l'oublier. Mais tu éludais la question quand on te la posait. Oui, tu en as une. Non, elle ne vit pas avec toi. Non, tu ne sais pas du tout où elle est. Oui, tu aimerais bien la revoir. Puis, tu l'as carrément oubliée. Tu as refait ta vie, loin d'elle. Tu n'avais plus aucun souvenir d'elle. Tu étais trop petit. Et maintenant que t'as grandi, plus rien. Même pas le reflet de ses magnifiques cheveux. C'est un fantôme de ta mémoire maintenant. Tu l'as vu une fois, sur une photo. Tu t'es demandé qui c'était, puis t'as abandonné. Une ancienne amie peut-être. Mais quand tu as vu cette photo, tu t'es senti heureux. Comme un gamin. Comme si t'avais trois ans. Oui, c'est ça, c'est une ancienne amie. Mais tu étais trop pressé de vivre l'instant présent pour retourner dans le passé. Ton papa enchainait les copines, sans en garder une seule. Toi aussi, tu fais un peu pareille avec les filles. Ah, l'adolescence, le meilleur âge. Tu n'étais pas un garçon bien sage. Tu aimais faire le con, le clown de service. Tu es le genre de mec hyper cool du collège. Oui, tu prends souvent la grosse tête, t'aimes chercher les autres, se moquer un peu d'eux. Et les filles. Ah, elles sont si belles, si fragiles. Quelques compliments, un peu d'attention et tu leur fais tourner la tête. T'as vite compris comment les amadouer. Mais aucune n'est à ton goût. Ce n'est pas que tu joues avec elles, non. Tu n'es pas un connard non plus. Tu cherches juste la perle rare. Et tu l'as trouvé. Elle était si belle, si douce. T'as mis du temps avant d'aller la voir. Tu l'épiais discrètement. C'était la première fois que ça t'arrivait. De tomber amoureux. Vraiment amoureux. Tu te perdais dans tes sentiments envers cette jolie blonde. Tu n'as jamais connu ça. Toi, Théoden, paralysé par une fille. Dix-sept ans et tu venais de comprendre le sens de tomber amoureux. Puis, vous vous êtes mis ensemble. Et c'était tout simplement magique. Tu en étais sûr, ses lèvres étaient faites pour être contre les tiennes. Son corps contre le tien. Son toucher pouvait te rendre complétement fou. Son sourire t'avait changé. Fini le bad boy coureur de jupons, c'était un nouveau Théoden et il est amoureux.
Tu n'as rien dit à ton père. Normalement, tu le dis tout de suite. Mais là, tu ne voulais pas. Elle était à toi, tu ne voulais pas la brusquer. T'avais trop peur qu'elle s'en aille, qu'elle trouve que tu vas trop vite. Peut-être que c'était toi qui avais peur, enfait. Puis, un jour, sur un coup de tête, elle t'invite chez elle. Avec ton père en plus. Tu n'as jamais été aussi heureux de ta vie, ni aussi stressé. Tu faisais la leçon à ton père pour qu'il se tienne bien. Pas trop d'alcool, pas de blagues nulles à chier, pas de jugements sur ta copine. Et vous y êtes allés. Et ça a été la pire connerie de ta vie. Maintenant que t'y repense, ça aurait dû te sauter aux yeux. Ses cheveux, son rire, ses yeux, tout en elle. Putain, Théo, ne t'es même pas foutu de reconnaître ta propre sœur. T'es pathétique à ce point ? Et dire que t'avais tout prévu pour vous deux. Tu pensais faire des études d'arts, en cinéma. Et devenir éalisateur. Le genre de réalisateur très connu. Et tu lui offrira une vie de reine, où elle ne manquera de rien. Oui, c'est ce que tu voulais faire. Aujourd'hui, tu n'es plus sûr de rien. Tu tuerais pour pouvoir retourner en arrière, pour ne plus l'aimer. Mais la perspective d'une vie sans elle te déchire le cœur et t'as l'impression de mourir de l'intérieur. Oh, Théo, qu'as-tu fais, nom de Dieux ? Tu t'es offert une vie d'esclave. Tout ça à cause de tes parents. Pourquoi se sont-ils remis ensemble ? Ils se sont séparés, alors pourquoi retenter le coup ? Pourquoi t'obliger à vivre avec elle et tes putains de sentiments ? Pour vous surveiller. Parce qu'ils ont honte de vous, tu les dégoûtes Théo. Tu t'es tapé ta sœur, c'est mal. Tu aimes ta sœur, c'est mal. Et tu te fais du mal. Tu veux la toucher, tu veux sentir encore une fois ses lèvres contre les tiennes. Elle est devenue ta drogue et t'as l'impression d'être en pleine cure de désintoxication. Tu en chiales toutes les nuits, comme un gamin. Tu deviens complétement fou, un rien te met en colère. Alors, tu veux oublier. Tu veux t'échapper de cette cage, de cet enfer. T'as trouvé comment faire pour t'échapper.

Tu l'embrasses, mais sans grande conviction. Elle, par contre, elle semble aimé ça. Pas toi. Mais qu'est-ce que tu fous avec elle ? Tu t'éloignes un peu d'elle et la regardes. Elle a les cheveux blonds, les yeux marrons et elle est plutôt mignonne. Elle ressemble tellement à Luka. C'est pour cela que tu l'as choisi. Elle, au milieu de toutes les autres jolies filles de la boite de nuit. Mais ce n'est pas Luka. Elle n'a pas ses cheveux, ses yeux et ses lèvres n'ont pas le même goût, ne te font pas le même effet. Puis, soudain, t'arrive plus à respirer. Il faut que tu sortes d'ici. Que t'aille fumer ta clope ou une autre saloperie qui te défoncera totalement. Oui oui, ca y est, t'as touché le fond, tu te drogues maintenant. T'oublieras ta douleur comme ça et tu déconneras encore plus. Tu lui fais un petit clin d'œil ravageur. Ah, les filles. Tu sais vraiment comment t'y prendre avec elle, même sans les aimer. Maintenant, oui, tu joues avec elle, au point de leur briser le cœur des fois. Tout comme ton cœur est brisé. Tu veux que les autres sachent ce que tu vis. Un petit sourire accompagne le clin d'œil. Et voilà, le tour est joué, elle te dévore des yeux. De ses magnifiques yeux marrons si différents de ceux de Luka et pourtant exactement pareil.. Putain, Théo, arrête de penser à elle. C'est impossible. Faut vite que tu sortes de là, t'as la tête qui tourne. L'alcool fait effet, t'es bourré. Va fumer une clope et t'es sûr de vivre une soirée d'enfer pour ne plus rien te rappeler ensuite.
Maintenant, t'essaie de remonter la pente. Tu réduis ta dépense en dope, t'essaies d'aller moins souvent aux soirées et de plus travailler pour tes études. Y'a que la clope qui n'a pas bougée. C'est ton refuge, t'en prends une quand tu sens que tu vas craquer. Quand t'as qu'une envie, c'est de l'embrasser de partout. T'essaies aussi d'avoir moins mal quand tu la vois, t'essaie d'oublier tes sentiments, de les cacher. T'essaies de te comporter avec comme un frère, pas comme un abruti amoureux. Mais c'est ce que tu es, Théo, t'es un abruti amoureux. Amoureux de la seule personne que tu ne peux pas avoir. Mais cache-le, les autres ne comprendront pas. Personne ne peut comprendre. T'es seul, mec. Seul, avec Luka.