je m'appelle Gabrielle Nevana Cooper. je suis né(e) le 20 juillet 1996, à Paris et j'ai donc dix-huit ans. je suis de nationalité Française et d'origine Anglo-saxonne. dans la vie, je suis baby-sitter à mes heures perdues et je suis très heureuse, malheureuse, qu'est-ce que ça change ... de mon métier/mes études. depuis que suis arrivé(e) à blackpool, les gens me considèrent comme une personne malpolie, jolie, bruyante, fêtarde et désagréable. sinon, en ce qui concerne ma vie privée, je suis libre comme l'air, pigé ? et d'orientation zoophile de préférence. Mais j'aime bien les hommes et les femmes aussi. je pense faire parti(e) du groupe it's dangerous business et mes amis n'arrêtent pas de me dire souvent que je ressemble à Lindsay Hansen.

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[color=#cc3300]▼[/color] [b]lindsay hansen[/b] + [i]gabrielle n. cooper[/i]

prénom/pseudo : MissY, Gwen, Dadou, Ali ... âge : seize ans région/pays: vénus <3 tu rp depuis: mes douze ans :3 ton personnage est ? inventé fréquence de connexion : 2/7, sauf vacances ! avis sur le forum: il déchire ! mot de la fin: DIS MOI OU IL EST MON PAPA ? PAPOUTAIIIIIIIIIII !   

Vous croyez aux histoires d’amour qui finissent bien ? Genre Cendrillon ? Ou Blanche-Neige ? Moi j’y ai jamais cru. Toute petite déjà, c’était dur pour moi de m’imaginer dans le rôle d’une princesse. Quelle princesse vivait dans un studio de douze petits mètres carrés avec un père alcoolique ? Certainement pas Jasmine. Quelle princesse devait se cacher le soir, pour ne pas que son père la trouve et la rue de coups ? Belle ? Non, j’crois pas. Je n’avais pas de maman. C’était tout naturellement, que lorsque j’avais été en âge de comprendre pourquoi, mon père m’a balancé à la figure un « tout est de ta faute, c’est toi qui l’a tuée. Ma petite femme, ma chère et tendre petite femme … » je me suis souvent demandé s’il la frappait sa chère et tendre petite femme. Et si ce n’était pas pour ça qu’elle avait préféré mourir plutôt que survivre à l’accouchement. Enfin bref. J’avais hérité de l’a-do-rable prénom de Gabrielle. Oui, ma grand-mère s’appelait comme ça et alors, t’as un problème ? Je suis née à Paris, et de l’union de Luna Dipiazzo (qui malgré son nom de famille Italien, était Française) et de Matthew Cooper, un Anglais. De ce fait, mon père m’a toujours parlé Anglais et c’est ma langue maternelle. Mes premières années d’école ont étés catastrophique. Je ne comprenais rien de ce que me disais les profs et mon père ne me donnait pas vraiment envie de comprendre.
Prenant exemple sur la figure paternelle, je faisais preuve d’un comportement des plus violents à l’égard de mes petits camarades. En même temps, ils se foutaient tous de ma gueule. « Hey, pourquoi t’es toute maigre Gaby ? Et pourquoi t’as un bleu sur ta joue ? Ton père te frappe ? » je ne comprenais rien. Je savais juste que « Gaby », c’était pas pour être affectif. Alors je leur tombais dessus et je les frappais. L’école à du appeler une bonne centaine de fois mon père, qui n’a jamais décroché. Les profs s’inquiétaient parfois. L’une d’elle a même essayé de me parler en anglais et ce que j’en ai comprit fut assez … étrange. « Ton père vouloir maigrir toi ? » je crois qu’elle aurait aimé me demandé si mon père me frappait. J’avais juste explosé de rire et je lui avait fait un doigt d’honneur. Je crois que je ne comprenais rien …

« Gabrielle, on va déménager. » J’étais en dernière année de primaire, ce que les Français appellent CM2. Comment j’avais fais pour aller jusque là, hein ? Excellente question. Peut-être qu’au fond, j’étais pas si bête que je ne le faisais paraître. Adieu la France, bonjour l’Angleterre. Le pays dont je ne connaissais que la langue, mais rien d’autre. Assez atypique, il faut bien se l’avouer. Je pensais qu’arrivés là-bas, tout irait mieux. Mais ça n’a pas vraiment été le cas. Au collège, je me suis fais des amis … bizarre. L’un avait quatorze ans, les autres environs mon âge, mais j’étais la plus jeune. « Bon. C’est interdit c’qu’on fait, et le premier qui va baver, j’le tue. Gab’, à toi l’honneur. » Il m’avait tendu une cigarette, déjà allumée. J’étais la seule fille du groupe. J’ai attrapée la clope et j’ai fumé. J’avais onze ans. Je ne rentrais plus chez moi le soir, je trainais dans les rues. Avec ma petite bande de mecs, ont faisait des petits délits, on s’marrait, on profitait d’la vie en somme … Peut-être pas d’une façon adéquate, certes. Mais on s’amusait. UN soir, ça a dérapé. J’étais seule dans une ruelle et ça m’est tombé dessus, comme ça. J’ai rien vu venir. À quatorze ans, on me volait la seule chose qui me restait de mon enfance innocente : ma virginité. J’ai été violée. Classe, hein … ? Je n’en ai jamais parlé à qui que ce soit.
Une vie de folle. Je menais une vie de folle. Le lycée ne m’arrangea pas le moins du monde. Le seul problème, c’était que mes « amis » étaient tous partis. Toujours toute seule, j’renvoyais chier la moindre personne qui s’approchait. Le jour de mes dix sept ans, mon père s’est suicidé. Je n’étais pas rentré le soir, comme à mon habitude, j’avais traînassé. Mais en rentrant, c’est un mort qui m’accueillit sur le canapé du petit appart’. À un an de la majorité, on m’enfermait dans un putain d’orphelinat. Heureusement, j’ai pu vite partir. Enfin, un an après quoi … mon père n’avait pas que des dettes faut croire, puisque j’ai eu assez « d’héritage » pour me payer un petit appart’ miteux. AU moins, j’suis pas sans toit. Je suis en terminale, mais je vais presque jamais en cours. Baby-sitter, c’est ma couverture. Mais en vrai, j’adore dealer, me droguer, oublier. Cool, ma vie, non ? Vous croyez aux histoires d’amour qui finissent bien ? Genre La belle au bois dormant ? Ou La belle et le clochard ? Moi j’y crois pas.