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▽ lettres envoyées : 262
▽ date d'arrivée : 22/06/2014
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zephÿr jules rosenberg
je m'appelle zephÿr jules rosenberg. je suis né(e) le cinq octobre mille neuf cent quatre-vingt-trois, à berlin et j'ai donc trente-et-un ans. je suis de nationalité allemande et d'origine française. dans la vie, je suis barman et je suis très emmerdé de mon métier/mes études. depuis que suis arrivé(e) à blackpool, les gens me considèrent comme une personne hautaine, généreuse, directe, réfléchie et antipathique. sinon, en ce qui concerne ma vie privée, je suis célibataire et d'orientation bisexuel. je pense faire parti(e) du groupe it's dangerous business et mes amis n'arrêtent pas de me dire souvent que je ressemble à gerard way.
it's time to know
« parfois, il m'arrive de me demander pourquoi je me suis foutu dans une telle merde. j'étais quelqu'un de bien, avant, et un minimum respecté. là, j'ai un métier qui me permet pas mal de choses, un putain de gosse à charge, des soucis d'argent, et même pas un merci, plus rien. qu'ils aillent se faire foutre. je suis pas parti d'allemagne pour qu'on me traite ainsi, je pense avoir le droit à au moins un minimum de reconnaissance. » c'était ce qu'il disait. lui, le buveur et le drogué infini. celui qui ne se contrôlait pas. celui qui se teignait les cheveux dès qu'il le pouvait. celui qui aimait son fils malgré tout. celui qui pensait tout savoir sur tout. celui qui avait un accent allemand, très charmeur, dès qu'il ouvrait la bouche. en réalité, parfois, il reprenait ses esprits et réfléchissait à ce qui avait pu le conduire à une telle vie. ce mec, c'était le "je m'en foutiste", celui qui en avait rien à foutre de tout et de tout le monde. sauf de son fils. et de la personne qu'il aime, secrètement. la bière c'est sa passion, en temps que barman, il en boit très souvent d'ailleurs. il flirte, souvent, parce qu'il est trop fier pour avouer qu'il aime quelqu'un. parfois, il a envie de buter raphaël, mais il évite de se faire remarquer par les forces de l'ordre. et puis d'autres trucs.
prénom/pseudo : alexandra ou venom. âge : seize ans. région/pays: idf. tu rp depuis: quatre ans. tpn personnage est ? inventé. fréquence de connexion : 7/7 avis sur le forum: ma baybay. mot de la fin: micheline.
☾ Mer 25 Juin - 16:54
Zephÿr Rosenberg
Re: zephÿr ► il est temps de vivre, et temps de mourir.Zephÿr Rosenberg
Zephÿr Rosenberg
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how to save a life
« parfois, il m'arrive de me demander pourquoi je me suis foutu dans une telle merde. j'étais quelqu'un de bien, avant, et un minimum respecté. là, j'ai un métier qui me permet pas mal de choses, un putain de gosse à charge, des soucis d'argent, et même pas un merci, plus rien. qu'ils aillent se faire foutre. je suis pas parti d'allemagne pour qu'on me traite ainsi, je pense avoir le droit à au moins un minimum de reconnaissance. j'ai le mal du pays, de temps en temps. j'ai beaucoup voyagé. france, états-unis, japon. et j'en passe. j'avais commencé très jeune, dès l'âge de trois ou quatre ans. ils aimaient partir en voyage. mais pas moi. même si j'ai dû le faire, plus tard. ma famille était pourtant aimante et toujours présente, cultivée. mais fermée d'esprit. alors, je voulais partir, et très loin. »
« j'étais parti dans la merde. dans les dérives, juste pour quitter une ambiance que je n'aimais pas et simplement parce que j'avais besoin d'imaginer autre chose. alors, je m'en fichais de tout. je buvais, et j'avais commencé à me droguer. juste pour sortir de ce quotidien complètement fade et inintéressant. une excuse de merde, vous dites ? ouais. peut-être. mais il est trop tard pour revenir en arrière. j'ai passé mon adolescence dans ce genre de dérives, à éviter les forces de l'ordre dès que je le pouvais. à vingt ans, j'étais parti à paris. soit disant une immense commande qui allait me valoir un million. j'y fonça, tête baissée. grossière erreur. adamsberg. c'était le nom de ce foutu commissaire, qui l'avait pris en grappe. bam , garde à vue. trop cool. un des jours les plus stressants de toute ma vie, sans doute. mais il n'avait pas assez de preuves. nice. »
« le gosse était là. seul. et moi j'étais loin de connaître paris. mais le pire, c'était que ce bambin ressemblait étrangement à ce foutu commissaire de merde. puis, je devais aller à l'aéroport. certes, j'avais échoué dans mes commandes, et j'avais pu me faire libérer de justesse, mais je devais partir. alors, j'avais osé. il était trop ressemblant. la vengeance, est un plat qui se mange glacé. « ton père veut que je t'emmène jouer. » naïf, le gamin. il me suivit, et je le pris avec moi, jusqu'en allemagne. inventant une excuse du type « il m'a dis de t'emmener en voyage, il va nous rejoindre. surprise ! » et vous voulez que je vous dise ? il avait quatre ans. il en a seize. et il est toujours avec moi. personne ne me le prendra. même l'amour de ma vie ne doit rien savoir de toute cette histoire. juste que c'est mon fils. un merdier, parfois, mais mon fils. »
« j'étais parti dans la merde. dans les dérives, juste pour quitter une ambiance que je n'aimais pas et simplement parce que j'avais besoin d'imaginer autre chose. alors, je m'en fichais de tout. je buvais, et j'avais commencé à me droguer. juste pour sortir de ce quotidien complètement fade et inintéressant. une excuse de merde, vous dites ? ouais. peut-être. mais il est trop tard pour revenir en arrière. j'ai passé mon adolescence dans ce genre de dérives, à éviter les forces de l'ordre dès que je le pouvais. à vingt ans, j'étais parti à paris. soit disant une immense commande qui allait me valoir un million. j'y fonça, tête baissée. grossière erreur. adamsberg. c'était le nom de ce foutu commissaire, qui l'avait pris en grappe. bam , garde à vue. trop cool. un des jours les plus stressants de toute ma vie, sans doute. mais il n'avait pas assez de preuves. nice. »
« le gosse était là. seul. et moi j'étais loin de connaître paris. mais le pire, c'était que ce bambin ressemblait étrangement à ce foutu commissaire de merde. puis, je devais aller à l'aéroport. certes, j'avais échoué dans mes commandes, et j'avais pu me faire libérer de justesse, mais je devais partir. alors, j'avais osé. il était trop ressemblant. la vengeance, est un plat qui se mange glacé. « ton père veut que je t'emmène jouer. » naïf, le gamin. il me suivit, et je le pris avec moi, jusqu'en allemagne. inventant une excuse du type « il m'a dis de t'emmener en voyage, il va nous rejoindre. surprise ! » et vous voulez que je vous dise ? il avait quatre ans. il en a seize. et il est toujours avec moi. personne ne me le prendra. même l'amour de ma vie ne doit rien savoir de toute cette histoire. juste que c'est mon fils. un merdier, parfois, mais mon fils. »
☾ Mer 25 Juin - 16:55
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