lawliet feliks rosenberg
je m'appelle lawliet feliks rosenberg. je suis né(e) le trois mai dix-neuf cent quatre-vingt-dix, à munich, en allemagne et j'ai donc vingt-quatre ans. je suis de nationalité allemande et d'origine anglo-allemande. dans la vie, je suis psychanalyste et ancien marines et je suis très fatigué de mon métier. depuis que suis arrivé(e) à blackpool, les gens me considèrent comme une personne cyclothymique, emphatique, instable, sincère et fêtard. sinon, en ce qui concerne ma vie privée, je suis célibataire et d'orientation pansexuelle. je pense faire parti(e) du groupe it's dangerous business et mes amis n'arrêtent pas de me dire souvent que je ressemble à jamie dornan.
- Code:
[color=#cc3300]▼[/color] [b]jamie dornan[/b] + [i]lawliet f. rosenberg[/i]
it's time to know
« Et voilà Lawliet, mon frère, le peureux de la famille.
- Ferme là Monroe. »
pour comprendre la, enfin, les peurs de lawliet, il faut d'abord rechercher leur origine. trouver un point de départ. et celui-ci n'est pas des plus complexes. lawliet est surdoué. il possède un quotient intellectuel avoisinant les 170, alors que la moyenne de la population terrestre se situe entre 90 et 110. mais qu’est ce que cet intellect supérieur à avoir avec sa peur ? les adultes surdoués ont tendances à être angoissés, hypersensible. il l’était. il ne l’est plus. ces angoisses passagères se surmontent rapidement après tout. il suffit de faire abstraction. cependant, ce qui consiste sa peur est bien plus harassant.
lawliet a peur de lui-même.
son intellect supérieur lui a toujours offert une vision du monde différente des autres, si bien que petit, il jonglait entre les dépréssion. il a peur de sa pensée et des mondes effrayants dans lesquels elle peut l’emmener. de ses émotions, qui peuvent à tout moments devenir incontrolables. de sa vision du monde, de la vie, de la mort, de ce qui l’entoure, qui elle aussi, est différente de celle des autres. de cette vie qu’il ne saura pas forcément maîtriser comme il le voudrais.
et les autres. il a peur de cette différence qui les éloignes. qui l’empêche d’être aussi insouciant qu’eux. mais il a aussi peur que sa pensée le quitte. finisse par disparaître. parce que même si elle le torture, pour lui, penser c’est vivre.
alors au final, à force de tout analyser, de tout remettre en question, il a trouver la solution. changer. se créer un personnage. et c’est ce qu’il fait, parce que ça marche. ça le calme.
prénom/pseudo : spiritfools van potato, pour vous servir. âge : quinze ans. région/pays: alféa, royaume de la magie. tu rp depuis: que j'ai dix piges. ton personnage est ? inventé. fréquence de connexion : 6/7 avis sur le forum: potato likes it. mot de la fin: je veux tout le monde dans mon lit ce soir. please.
☾ Mer 9 Juil - 20:26
no more dream
chapter one + like the moon we borrow our light
Les yeux rivés sur la lumière blanche de la salle, aucun bruit ne sors de sa bouche. Il divague. Il attend. Après tout, tous ces tests l’ont ennuyé, et étaient tous plus simple les uns que les autres. L’ennui le gagnait, petit à petit, alors que l’examinateur finit par revenir, un grand sourire au lèvres.
Lawliet avait sept ans. Il venait tout juste de prendre ses marques dans son école primaire car ses parents avaient décidés de quitter sa jolie ville de munich, certes, bruyante et sale pour le pseudo calme et le soleil de Blackpool, jolie ville d’Angleterre. Tout aurait du aller pour le mieux. Mais sa mère décida de le faire tester, parce que Lawliet se plaignait chaque jour qu’il s’ennuyait à l’école. Elle craignait qu’il soit, comme son oncle, un de ces paresseux chronique, qui passent leurs journées à ne rien faire, et qui finissent leur vie alcoolique, à jouer aux jeux vidéo dans un divan en velours gris.
« Et bien madame, je vous annonce que votre fils possède un QI de 170.
- Et qu’est ce que je dois en conclure ?
Disons que, sachant que celui de la population moyenne avoisine les 100, votre fils est donc ce que l’on nomme communément un surdoué.»
Étonnement de la mère. Perplexité du fils. A partir de cet après-midi où ses parents apprirent qu’il était surdoué, Lawliet fut mis sur un piédestal. Il fut inscrit dans les meilleures écoles, dans le collège le plus prestigieux, connu la gloire auprès des amis de ses parents, n’eut presque pas de contraintes, passais son temps libre à jouer, à surfer, parce qu’il comprenait tout. Qu’il était plus intelligent. Qu’il était l’enfant dont tous les parents rêvaient.
Au détriment, plus tard de son frère, Monroe.
De quatre ans son aîné, il fut réduit à rester dans l’ombre de son frère, lui qui brillait toujours, surtout sur le plan scolaire. Pendant les longues années de primaire et collège du jeune homme, il fut mit à l’écart, toujours en arrière. Après tout il n’avait pas le don de son frère. Et comment impressionner le monde en ramenant un quatorze, alors que votre frère collectionne les vingt ? Impossible.
Cependant, Lawliet ne se rendit pas compte de tout cela. Et heureusement pour son frère, mais, pas pour lui, cette période de gloire ne dura pas plus que cela.
chapter two + i am nothing but a shadow in the night
Le sang coula lentement de sa narine, et il porta immédiatement sa main sur son nez, une plainte s’échappant de ses lèvres. Tel un pauvre animal, il se retrouvait recroquevillé sur lui même, accusant les coups de pieds de trois jeune garçons. Lawliet avait quinze ans. Il était devenu le souffre douleur, la tête de turc de ses camarades. Tout ça parce qu’il avait toujours les meilleures notes.
Pour cause de manque d’argent, ses parents n’avaient eu d’autre choix que de l’inscrire dans un lycée public. Au début, cela ne causait pas de soucis à Lawliet, qui fut même, assez content. Rencontrer de nouvelles personnes ne fait pas de mal après tout. Mais ce changement qui semblait le ravir se transforma bientôt en un enfer. Petit à petit, les garçons de sa classe commencèrent à l’embêter, à lui demander, ou plutôt, voler ses devoirs afin d’avoir de meilleures notes. Mais Lawliet fini par se plaindre. Et il n’aurait pas du. Car depuis, au lieu de simplement se retrouver avec un zéro dans sa moyenne pour devoir non rendu, les coups pleuvèrent sur son pauvre corps. Personne ne s’en rendit compte. Sauf son frère. Qui préféra ne rien dire. Et continua de se moquer inlassablement de lui, devenant à son tour, une terreur du collège, frappant parfois son frère pour avoir les applaudissement de ses camarades.
Haït, rabaissé, seul, il se retrouva a devoir changer de lycée. Et il se décida à ne pas reproduire les mêmes erreurs. Plus jamais.
* * * * * * *
« Lawliet, tu fous quoi, on est pas censé aller en cours ?
- Oh, ma pauvre petite puce, aurais-tu peur ?
Non, mais, enfin, on va se faire tuer par nos parents, enfin moi tout du moins..
- Mais on s’en fou, allez viens, ça va être marrant. »
Absentéisme. Chute de ses notes. Mauvais comportement.
Voilà comment résumer en trois choses ce que devint le jeune homme. À seize ans, il changea enfin de lycée, et décida non plus, d’étaler sa science devant tout le monde, mais de devenir un de ces mecs cools et rebelles dont les filles raffolent. Il ne faisait plus rien en cours, passait son temps à rabaisser ses professeurs en leur montrant sa supériorité intellectuelle de temps à autre. Il se mit à fumer, à répondre à ses parents, à rabaisser sa sœur, à sortir sans jamais rentrer.
Et cette tactique fonctionna. Il fut un des garçons les plus populaires de son nouveau lycée, enchaînant les relations, les conneries. Au plus grand malheur de sa famille, qui petit à petit, se déchira. Son père quitta le foyer, tout simplement. Par sa faute, en sorte. Mais, alors que beaucoup de personnes auraient penser qu’il changerais, il n’en fut rien : sa bêtise s’aggrava. Si bien qu’il fut rapidement en échec scolaire. Quel comble pour un enfant destiné à un si bel avenir. Mais il n’en avait que faire. Il se rebellait et il était aimé, c’est tout ce qui comptait pour lui.
chapter three + so if you let me i will catch fire
Doucement, mais surement, les méandres de son esprit commence à l’envahir, telle l’ombre qui recouvre la Terre le soir. Il finit par fermer les yeux, et suffoque, n’en pouvant plus, manquant de s’écrouler sur son lit, en larme, implorant pour un moment de répis. Son cerveau. Ce fichu cerveau qui ne cesse de fonctionner à plein régime, qui cherche, analyse, expérimente sans jamais s’arrêter. Il n’en peu plus. Lawliet n’en peu plus de cet esprit qui fascine le monde, mais qui le paralyse et l’empêche de vivre. Don du ciel ? Plutôt cadeau empoisonné de l’enfer. Le jeune homme finit par avoir peur. Avoir peur de tous ces moments où il peut se retrouver seul, en tête à tête avec ses méninges, qui turbine, qui bouillonent, et qui manquent d’enclencher une éruption au sein même de sa boîte crânienne. Alors il cherche la compagnie, en boîte, dans les bars, dans les fêtes, dans le lit des jeunes filles. N’importe où. Mais parfois, il ne parvient pas à la trouver, et se retrouve seul, en proie à ses angoisses. Il a peur de cet esprit, qui ne cesse de chercher de nouvelles choses à explorer. Des autres, qui ne l’ont de toutes manières jamais compris, et qui l’adulent, où le détestent à essayer de le faire crever. Et le pire, c’est qu’il a peur de lui même, lui qui est si différent. Si seul mais si entouré à la foi.
chapter four + to let your glory and mercy shine
« Hey Lawliet, encore en train de bosser en secret à ce que je vois ?
- Nan, enfin, c’pas ce que tu crois. Je dessine. Ouais c’est ça je dessine.
Arrête, on me la fait pas à moi. Tu fais ton glandeur avec qui tu veux, mais moi, je sais ce qui se trame là dedans. »
La jeune fille posa alors son doigt sur le front du jeune homme, qui lui rendit un large sourire, rangeant lentement son paquet de copies noircies dans son sac.
Après le lycée, il eu son examen avec mention très bien, sans même avoir eu besoin de réviser, ni même de lever le petit doigt de l’année. Et par la suite, il avait intégré la faculté de médecine, se spécifiant dans la psychologie. Parce qu’il adorait, soit disant, étudier le comportement humain. Mais quelque part, c’était également pour qu’il se comprenne. Se comprenne lui même.
Plus vieux, à moitié assagit, il évite de jouer le rebelle, et, à cause de multiples dépression arrivées lors de sa dix-neuvième année, il a commencé, petit à petit, à se renfermer sur lui-même. Les filles disent que ça lui donne un air mystérieux. Jessalyn trouve que ça lui donne une image bougonne et peu sympathique.
Jessalyn et Lawliet se sont rencontrés en première année de fac. Elle est hémophile. Il est surdoué. Les deux ont un problème, une peur qui les tiraille, et une forme d’entraide est née entre les deux êtres. Une amitié sincère également. Et c’est ce qui lui permet d’avancer, et d’oublier ces moments noirs qu’il a pu traverser. Parce que lorsqu’il se retrouve seul, il peut toujours appeler son amie. Ce qui lui offre la possibilité de se calmer. De respirer.
chapter five + to the sound of an enemy’s song
« Allez Law, tu vas voir, ça va te calmer.
- T’es sûr ? J’vois pas comment un truc qui a pour vertu de me détruire les neurones pourrait me calmer Zephÿr. Et j’ai déjà donné merci.
Fait moi confiance. »
Le rire de son cousin retentit dans son oreille, alors que ce dernier lui désignais le rail de cocaïne sur la table basse, la musique électro retentissant dans les oreilles du jeune homme. Ne trouvant pas de travail malgré le fait qu’il avait finit ses études premier de sa promotion, il avait décidé de s’engager dans la marine de son pays d’adoption, et avait finit par se faire jeter après avoir été retrouvé entrain de fumer et dealer de l’herbe dans les toilettes du dortoir. C’est Zephÿr son cousin, qui l’a initié à ces conneries que sont la drogue et le sexe. Il avait finalement réussi à s’assagir. À vivre une vie normale. Mais grâce, ou plutôt, à cause de cette sorte de tornade aux cheveux rouges, il avait finit par replonger.
Il était jeune et con. Et il l’est toujours.
Se penchant et bouchant sa narine à l’aide de son index, il sentit, au fil du temps, les effets si positifs de la drogue se répandre en lui, un sourire béat aux lèvres. Cette sensation, il finit par la rechercher, de plus en plus, par tous les moyens. Même les pires. Il n’était pas devenu toxicomane, mais pour son jeune âge, il avait déjà presque tout tenté. Mêmes les seringues. Parce que toutes ces substances le calmait. Réduisait ses crises, ses frayeurs à néant, pendant le temps d’une soirée. Bien qu’il se drogue moins souvent, depuis qu’il ne vit plus chez son cousin. Tant mieux pour lui d’ailleurs.
A vingt-quatre ans, il est un des psychanalyste les plus en vogues de la région, à qui ses dames viennent conter leurs petites angoisses, et il les aide à trouver une solution.
Les yeux rivés sur la lumière blanche de la salle, aucun bruit ne sors de sa bouche. Il divague. Il attend. Après tout, tous ces tests l’ont ennuyé, et étaient tous plus simple les uns que les autres. L’ennui le gagnait, petit à petit, alors que l’examinateur finit par revenir, un grand sourire au lèvres.
Lawliet avait sept ans. Il venait tout juste de prendre ses marques dans son école primaire car ses parents avaient décidés de quitter sa jolie ville de munich, certes, bruyante et sale pour le pseudo calme et le soleil de Blackpool, jolie ville d’Angleterre. Tout aurait du aller pour le mieux. Mais sa mère décida de le faire tester, parce que Lawliet se plaignait chaque jour qu’il s’ennuyait à l’école. Elle craignait qu’il soit, comme son oncle, un de ces paresseux chronique, qui passent leurs journées à ne rien faire, et qui finissent leur vie alcoolique, à jouer aux jeux vidéo dans un divan en velours gris.
« Et bien madame, je vous annonce que votre fils possède un QI de 170.
- Et qu’est ce que je dois en conclure ?
Disons que, sachant que celui de la population moyenne avoisine les 100, votre fils est donc ce que l’on nomme communément un surdoué.»
Étonnement de la mère. Perplexité du fils. A partir de cet après-midi où ses parents apprirent qu’il était surdoué, Lawliet fut mis sur un piédestal. Il fut inscrit dans les meilleures écoles, dans le collège le plus prestigieux, connu la gloire auprès des amis de ses parents, n’eut presque pas de contraintes, passais son temps libre à jouer, à surfer, parce qu’il comprenait tout. Qu’il était plus intelligent. Qu’il était l’enfant dont tous les parents rêvaient.
Au détriment, plus tard de son frère, Monroe.
De quatre ans son aîné, il fut réduit à rester dans l’ombre de son frère, lui qui brillait toujours, surtout sur le plan scolaire. Pendant les longues années de primaire et collège du jeune homme, il fut mit à l’écart, toujours en arrière. Après tout il n’avait pas le don de son frère. Et comment impressionner le monde en ramenant un quatorze, alors que votre frère collectionne les vingt ? Impossible.
Cependant, Lawliet ne se rendit pas compte de tout cela. Et heureusement pour son frère, mais, pas pour lui, cette période de gloire ne dura pas plus que cela.
chapter two + i am nothing but a shadow in the night
Le sang coula lentement de sa narine, et il porta immédiatement sa main sur son nez, une plainte s’échappant de ses lèvres. Tel un pauvre animal, il se retrouvait recroquevillé sur lui même, accusant les coups de pieds de trois jeune garçons. Lawliet avait quinze ans. Il était devenu le souffre douleur, la tête de turc de ses camarades. Tout ça parce qu’il avait toujours les meilleures notes.
Pour cause de manque d’argent, ses parents n’avaient eu d’autre choix que de l’inscrire dans un lycée public. Au début, cela ne causait pas de soucis à Lawliet, qui fut même, assez content. Rencontrer de nouvelles personnes ne fait pas de mal après tout. Mais ce changement qui semblait le ravir se transforma bientôt en un enfer. Petit à petit, les garçons de sa classe commencèrent à l’embêter, à lui demander, ou plutôt, voler ses devoirs afin d’avoir de meilleures notes. Mais Lawliet fini par se plaindre. Et il n’aurait pas du. Car depuis, au lieu de simplement se retrouver avec un zéro dans sa moyenne pour devoir non rendu, les coups pleuvèrent sur son pauvre corps. Personne ne s’en rendit compte. Sauf son frère. Qui préféra ne rien dire. Et continua de se moquer inlassablement de lui, devenant à son tour, une terreur du collège, frappant parfois son frère pour avoir les applaudissement de ses camarades.
Haït, rabaissé, seul, il se retrouva a devoir changer de lycée. Et il se décida à ne pas reproduire les mêmes erreurs. Plus jamais.
* * * * * * *
« Lawliet, tu fous quoi, on est pas censé aller en cours ?
- Oh, ma pauvre petite puce, aurais-tu peur ?
Non, mais, enfin, on va se faire tuer par nos parents, enfin moi tout du moins..
- Mais on s’en fou, allez viens, ça va être marrant. »
Absentéisme. Chute de ses notes. Mauvais comportement.
Voilà comment résumer en trois choses ce que devint le jeune homme. À seize ans, il changea enfin de lycée, et décida non plus, d’étaler sa science devant tout le monde, mais de devenir un de ces mecs cools et rebelles dont les filles raffolent. Il ne faisait plus rien en cours, passait son temps à rabaisser ses professeurs en leur montrant sa supériorité intellectuelle de temps à autre. Il se mit à fumer, à répondre à ses parents, à rabaisser sa sœur, à sortir sans jamais rentrer.
Et cette tactique fonctionna. Il fut un des garçons les plus populaires de son nouveau lycée, enchaînant les relations, les conneries. Au plus grand malheur de sa famille, qui petit à petit, se déchira. Son père quitta le foyer, tout simplement. Par sa faute, en sorte. Mais, alors que beaucoup de personnes auraient penser qu’il changerais, il n’en fut rien : sa bêtise s’aggrava. Si bien qu’il fut rapidement en échec scolaire. Quel comble pour un enfant destiné à un si bel avenir. Mais il n’en avait que faire. Il se rebellait et il était aimé, c’est tout ce qui comptait pour lui.
chapter three + so if you let me i will catch fire
Doucement, mais surement, les méandres de son esprit commence à l’envahir, telle l’ombre qui recouvre la Terre le soir. Il finit par fermer les yeux, et suffoque, n’en pouvant plus, manquant de s’écrouler sur son lit, en larme, implorant pour un moment de répis. Son cerveau. Ce fichu cerveau qui ne cesse de fonctionner à plein régime, qui cherche, analyse, expérimente sans jamais s’arrêter. Il n’en peu plus. Lawliet n’en peu plus de cet esprit qui fascine le monde, mais qui le paralyse et l’empêche de vivre. Don du ciel ? Plutôt cadeau empoisonné de l’enfer. Le jeune homme finit par avoir peur. Avoir peur de tous ces moments où il peut se retrouver seul, en tête à tête avec ses méninges, qui turbine, qui bouillonent, et qui manquent d’enclencher une éruption au sein même de sa boîte crânienne. Alors il cherche la compagnie, en boîte, dans les bars, dans les fêtes, dans le lit des jeunes filles. N’importe où. Mais parfois, il ne parvient pas à la trouver, et se retrouve seul, en proie à ses angoisses. Il a peur de cet esprit, qui ne cesse de chercher de nouvelles choses à explorer. Des autres, qui ne l’ont de toutes manières jamais compris, et qui l’adulent, où le détestent à essayer de le faire crever. Et le pire, c’est qu’il a peur de lui même, lui qui est si différent. Si seul mais si entouré à la foi.
chapter four + to let your glory and mercy shine
« Hey Lawliet, encore en train de bosser en secret à ce que je vois ?
- Nan, enfin, c’pas ce que tu crois. Je dessine. Ouais c’est ça je dessine.
Arrête, on me la fait pas à moi. Tu fais ton glandeur avec qui tu veux, mais moi, je sais ce qui se trame là dedans. »
La jeune fille posa alors son doigt sur le front du jeune homme, qui lui rendit un large sourire, rangeant lentement son paquet de copies noircies dans son sac.
Après le lycée, il eu son examen avec mention très bien, sans même avoir eu besoin de réviser, ni même de lever le petit doigt de l’année. Et par la suite, il avait intégré la faculté de médecine, se spécifiant dans la psychologie. Parce qu’il adorait, soit disant, étudier le comportement humain. Mais quelque part, c’était également pour qu’il se comprenne. Se comprenne lui même.
Plus vieux, à moitié assagit, il évite de jouer le rebelle, et, à cause de multiples dépression arrivées lors de sa dix-neuvième année, il a commencé, petit à petit, à se renfermer sur lui-même. Les filles disent que ça lui donne un air mystérieux. Jessalyn trouve que ça lui donne une image bougonne et peu sympathique.
Jessalyn et Lawliet se sont rencontrés en première année de fac. Elle est hémophile. Il est surdoué. Les deux ont un problème, une peur qui les tiraille, et une forme d’entraide est née entre les deux êtres. Une amitié sincère également. Et c’est ce qui lui permet d’avancer, et d’oublier ces moments noirs qu’il a pu traverser. Parce que lorsqu’il se retrouve seul, il peut toujours appeler son amie. Ce qui lui offre la possibilité de se calmer. De respirer.
chapter five + to the sound of an enemy’s song
« Allez Law, tu vas voir, ça va te calmer.
- T’es sûr ? J’vois pas comment un truc qui a pour vertu de me détruire les neurones pourrait me calmer Zephÿr. Et j’ai déjà donné merci.
Fait moi confiance. »
Le rire de son cousin retentit dans son oreille, alors que ce dernier lui désignais le rail de cocaïne sur la table basse, la musique électro retentissant dans les oreilles du jeune homme. Ne trouvant pas de travail malgré le fait qu’il avait finit ses études premier de sa promotion, il avait décidé de s’engager dans la marine de son pays d’adoption, et avait finit par se faire jeter après avoir été retrouvé entrain de fumer et dealer de l’herbe dans les toilettes du dortoir. C’est Zephÿr son cousin, qui l’a initié à ces conneries que sont la drogue et le sexe. Il avait finalement réussi à s’assagir. À vivre une vie normale. Mais grâce, ou plutôt, à cause de cette sorte de tornade aux cheveux rouges, il avait finit par replonger.
Il était jeune et con. Et il l’est toujours.
Se penchant et bouchant sa narine à l’aide de son index, il sentit, au fil du temps, les effets si positifs de la drogue se répandre en lui, un sourire béat aux lèvres. Cette sensation, il finit par la rechercher, de plus en plus, par tous les moyens. Même les pires. Il n’était pas devenu toxicomane, mais pour son jeune âge, il avait déjà presque tout tenté. Mêmes les seringues. Parce que toutes ces substances le calmait. Réduisait ses crises, ses frayeurs à néant, pendant le temps d’une soirée. Bien qu’il se drogue moins souvent, depuis qu’il ne vit plus chez son cousin. Tant mieux pour lui d’ailleurs.
A vingt-quatre ans, il est un des psychanalyste les plus en vogues de la région, à qui ses dames viennent conter leurs petites angoisses, et il les aide à trouver une solution.
☾ Mer 9 Juil - 20:27
Officiellement bienvenue sur le forum, ma poule (oui, tu vas le garder celui-là)
Comme tu t'en doute, si t'as besoin de quoi que ce soit, tu fais chier Zeph /PAN/
Bon courage ♥
Comme tu t'en doute, si t'as besoin de quoi que ce soit, tu fais chier Zeph /PAN/
Bon courage ♥
☾ Mer 9 Juil - 20:32
MAX XDDD
BIENVENUUUUUUUUUE Je veux un lien de la mort !
Bon courage pour ta fichounette
BIENVENUUUUUUUUUE Je veux un lien de la mort !
Bon courage pour ta fichounette
☾ Mer 9 Juil - 20:35
☾ Mer 9 Juil - 20:42
on est envahit par les rosenberg ici
en plus à chaque fois ils sont canons
bienvenue sur le fofo! j'adore ton pseudo au passage et un psychanalyste, c'est bon ça, on va bien s'entendre
bonne chance pour la suite!
en plus à chaque fois ils sont canons
bienvenue sur le fofo! j'adore ton pseudo au passage et un psychanalyste, c'est bon ça, on va bien s'entendre
bonne chance pour la suite!
☾ Mer 9 Juil - 20:46
☾ Mer 9 Juil - 20:48
merci tout le monde.
> tommy : étudiant en psychanalyse et dealer ? alors là oui, on va meme devenir les meilleurs amis du monde.
> raph : et oui, c'est ça bout de chou.
> tommy : étudiant en psychanalyse et dealer ? alors là oui, on va meme devenir les meilleurs amis du monde.
> raph : et oui, c'est ça bout de chou.
☾ Mer 9 Juil - 21:06
Bienvenue
Wahou la famille Rosenberg s'agrandit et c'est des canons . J'aime beaucoup . Je te souhaite pas bon courage pour ta fiche, vu qu'elle est finie
☾ Mer 9 Juil - 21:21
Je te valide sale merde t'écris toujours aussi bien
amuses-toi pas parmi nous, on t'aime pas.
amuses-toi pas parmi nous, on t'aime pas.
☾ Mer 9 Juil - 21:22
☾ Mer 9 Juil - 21:26
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